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SIATECH : la start-up rouennaise qui vous passe la bague au doigt

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27 avril 2016
Attractivité
SIATECH : la start-up rouennaise qui vous passe la bague au doigt

Croire que nos start-ups et pépites régionales ne développent leurs innovations que dans les secteurs des nouvelles technologies et de la communication serait un peu réducteur. C’est ce que nous rappelle avec opportunisme les fondateurs de SIATECH, tous trois sortis de l’ESIGELEC et incubés chez Seinari, avec TELECOM’HAND, une télécommande universelle connectée, dédiée à l’industrie, à la manutention et au médical.

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Frédéric Hamain, Nicolas Iriart et Nicolas Klis, les trois créateurs de SIATECH

Une innovation porteuse de sécurité et de productivité

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De l’ESIGELEC à la création d’entreprise, il n’y a qu’un pas, que n’ont pas hésité à franchir Frédéric Hamain, Nicolas Iriart et Nicolas Klis, jeunes créateurs de SIATECH actuellement hébergés au sein de l’incubateur de Seinari. Partant du constat que la commande des ponts roulants restait complexe, faillible et souvent peu sécurisée, ils ont après deux ans de travail, conçu TELECOM’HAND, une télécommande universelle sous forme de bague et bracelet fixés au doigt, génératrice de gains de productivité conséquents.

Les débouchés prometteurs de TELECOM’HAND

Actuellement au stade de prototype mais loin d’être un gadget, l’objet est déjà particulièrement avancé. Grâce à ce système de bague et bracelet connectés, l’utilisateur contrôle son environnement et ses opérations de manière totalement maîtrisée, sécurisée et intuitive : un simple déplacement de la main suffit à l’objet connecté pour suivre le mouvement, permettant à l’utilisateur de ne plus être dépendant du poids et du fil des habituelles télécommandes. Si la première application a été développée pour les ponts roulants – dont le marché potentiel dépasse les 100 000 unités actuellement, rien qu’en France – d’autres débouchés sont déjà à l’étude, dans l’industrie ou le médical notamment.

Étudier puis entreprendre : à Rouen ça fonctionne !

Et l’avenir s’annonce prometteur. Leur brevet à peine déposé, ils ont remporté le concours I-lab Emergence organisé par la BPI et le ministère de la recherche. Actuellement en cours d’homologation technique de leur prototype avec l’aide du CETIM, ils envisagent un début de commercialisation à la fin de l’année. Un délai qui leur permet de finaliser les statuts de leur start-up et d’envisager une première levée de fonds à hauteur de 500 K€, dont une partie sous la forme d’une ouverture de capital proposée à des business angels locaux.

Ces premiers succès sont un nouvelle preuve qu’étudier puis entreprendre au sein de la métropole rouennaise sont deux réalités extrêmement compatibles aujourd’hui, et que les leviers d’accompagnement des pépites de demain fonctionnent parfaitement à Rouen, pour les jeunes entrepreneurs qui souhaitent se lancer !

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